OPALE est avant tout une histoire d’Hommes, d’horizons différents, débutée il y a 20 ans et qui continue encore aujourd’hui…

Notre projet débute en 2001 par la rencontre d’Hommes : éleveurs de porcs, responsables de groupements de producteurs, industriels, tous motivés par un même but : produire une viande de qualité répondant aux attentes des salaisonniers et des consommateurs…

Ce groupe de différents horizons commence alors à échanger et à construire leur histoire en définissant les attentes des salaisonniers et des consommateurs mais aussi les moyens dont ils disposent et leurs objectifs… Ces discussions aboutissent dans un premier temps, en 2004, à la création de l’association OPALE (Organisme pour la Promotion des Animaux sous Label). Puis, en 2005, OPALE fait valider la première version de son cahier des charges. Celui-ci donne dans les grandes lignes et les règles à suivre en matière d’élevage de porcs et de transformation. Il est à l’image des Hommes qui ont travaillé à sa construction : il illustre à la fois la volonté des éleveurs de produire différemment (respect de l’animal et alimentation avec des bénéfices pour le consommateur) et le désir des industriels (abatteurs et salaisonniers) de produire des produits de qualités supérieures, d’une part en utilisant une matière première supérieure, et d’autre part en adaptant leurs recettes pour apporter une valeur supplémentaire au produit final.

S’ensuit alors, au fil des années et des différents travaux menés par les groupes de réflexion, des adaptations du cahier des charges et l’homologation de nouveaux produits (coppa, pancetta, saurisserie…) pour répondre toujours plus aux attentes des consommateurs. Aujourd’hui, le cahier des charges Label Rouge OPALE prend en compte l’ensemble de la chaîne de production du produit fini : la génétique, l’alimentation, le confort des animaux à chaque étape de leur vie, l’abattage, la transformation de la viande…

OPALE est avant tout une histoire d’Hommes d’horizons différents débutée il y a 20 ans et qui continue encore aujourd’hui…